| Titre : | Banque et développement durable : Dernière révision des Principes Equateur et évolution récente de la législation autour du secteur bancaire. : Vers un financement de projet plus responsable ? |
| Auteurs : | Amaël Chelihi, Auteur |
| Type de document : | mémoire |
| Editeur : | La Rochelle : Groupe Sup de Co, 2016 |
| Note générale : |
Mémoire ESC 2016
Note : 15/20 Directeur de mémoire : Pierre Baret |
| Langues: | Français |
| Sujets : |
[Management] ETABLISSEMENT FINANCIER > BANQUE [Management] FINANCE D'ENTREPRISE > FINANCEMENT [Management] MOT OUTIL > RISQUE [Management] PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT > DEVELOPPEMENT DURABLE |
| Résumé : | Cette recherche concerne les enjeux de la banque et du développement durable dans le cadre de leurs engagements volontaires afin de respecter leurs impacts indirects. La prédominance des banques dans l’économie mondiale nous montre ainsi qu’elles peuvent jouer un rôle prépondérant dans le cadre du développement durable de par la place qu’elles occupent. De multiples actions sont possibles par ces institutions afin de contribuer au développement durable. Mais outre la maitrise de leurs impacts directs, le contrôle de leurs impacts indirects constitue un enjeu majeur. L’évaluation des risques environnementaux et sociaux, dans le cadre de leurs activités de financement de projet, prend une dimension toute particulière. En l’absence de législation réglementant sur ces nouveaux enjeux extra-financiers, les banques n’ont d’autres choix que de s’engager auprès de référentiels volontaires dont le but est de les guider vers un comportement responsable. Sur le volet du financement de projet, les Principes Equateur (PE) semblent être le dispositif le plus pertinent du secteur. Mais face aux mutations de l’environnement, ce référentiel a fait récemment l’objet d’une troisième révision. Ce rapport permet donc une discussion autour de la nouvelle version des Principes Equateur. Cette évolution admet une avancée supplémentaire sur le sujet, mais de nombreuses limites persistent encore. Est-ce suffisant pour mettre en place un financement de projet plus responsable ? La recherche démontrera que malgré l’avancée de cette révision, cela n’est toujours pas suffisant. Et les ONG notamment, demandent d’aller encore plus loin. C’est alors que les banques décident de mettre en place des directives internes dans le but d’atteindre une politique de financement de projet vraiment responsable et de tendre vers un modèle durable. Afin de compléter l’analyse de cette nouvelle version, l’étude de cas du Groupe Société Générale permettra d’identifier la stratégie RSE de ce dernier et de constater l’intégration des Principes Equateur versions III. Le rapport démontrera également comment le Groupe dépasse les limites persistantes des PE III. |
| En ligne : | https://myintranet.excelia-group.com/fr-fr/mediatheque/Memoires/Chelihi-Amael.pdf |
Exemplaires
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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| aucun exemplaire | |||||
